« Lui
que vous aimez sans L’avoir vu, en Qui vous croyez sans Le voir encore,
Vous
réjouissant d’une joie ineffable et glorieuse, 
Parce
que vous obtiendrez le salut de vos âmes, pour prix de votre foi. »
1
Pierre 1 :8‑9.
La Découverte Glorieuse.
Le Trésor Ineffable.
Le Bonheur Inexprimable.
La Rencontre Transformatrice.
"Je l'ai trouvé, je l'ai trouvé, le bonheur ineffable !
Je suis sauvé, je suis sauvé, oh ! joie inexprimable !"
Ces paroles jaillissent du cœur comme
un cri de victoire, comme une explosion de joie, comme un témoignage de
délivrance. Elles expriment l'expérience bouleversante de celui qui a rencontré
Christ, de celui qui a découvert le trésor caché, de celui qui est passé des
ténèbres à la lumière.
Par-delà les recherches infructueuses
qui épuisent l'âme, les quêtes illusoires qui déçoivent le cœur, les poursuites
vaines qui consument l'existence ; loin des plaisirs éphémères qui promettent
mais ne satisfont jamais, des richesses terrestres qui enrichissent mais
n'apaisent point, des honneurs humains qui flattent mais ne comblent pas ; il
existe bien une découverte décisive, une trouvaille glorieuse, une rencontre
transformatrice qui change tout, pour toujours, pour l'éternité.
Par ailleurs, l'humanité cherche
depuis des millénaires. Elle cherche le bonheur dans les possessions
matérielles, la paix dans les philosophies humaines, la satisfaction dans les
accomplissements personnels. Elle multiplie les tentatives, accumule les expériences,
explore toutes les voies possibles.
Cependant, malgré cette quête
incessante, cette recherche acharnée, cette soif insatiable ; le véritable
bonheur demeure introuvable jusqu'à ce que l'âme découvre Christ, jusqu'à ce
que le cœur rencontre le Sauveur, jusqu'à ce que l'esprit trouve son Créateur.
Alors on se demanderait : Qu'est-ce
qui rend cette découverte si précieuse ? Pourquoi ce salut suscite-t-il une
telle joie ? Comment cette rencontre transforme-t-elle radicalement l'existence
?
Y aurait-il des réponses claires ?
Oui, répond l'Évangile. Alors se demanderaient certains : Mais quelle est la
nature de cette découverte ? Quelles sont ses implications ? Qu'en est-il de
ses conséquences éternelles ?
Laissez-nous répondre aujourd'hui, que
cette expérience du salut, sa réalité transformatrice, sa joie ineffable, ses
effets permanents, sont magnifiquement révélés à travers les pages inspirées
des Saintes Écritures.
En ce jour, c'est cette vérité
glorieuse que l'Église doit proclamer et célébrer. C'est à cette joie que tout
croyant doit témoigner avec assurance, la partager avec enthousiasme, et la
vivre avec gratitude.
Certains se demanderaient peut-être :
"Mais qu'avons-nous réellement trouvé en Christ ? Quelle est la nature de
cette découverte qui justifie tant d'allégresse ?"
Qu'ils sachent premièrement que dans
le salut par Christ, nous avons trouvé la libération totale et définitive de
l'esclavage du péché. Oui,
NOUS AVONS TROUVÉ LA LIBÉRATION TOTALE ET DÉFINITIVE 
DE L'ESCLAVAGE DU PÉCHÉ.
Romains 6 :17-18, 22
En effet, frères et sœurs bien-aimés,
si beaucoup peinent à comprendre l'intensité de cette joie ; s'ils ont du mal à
saisir la profondeur de cette célébration, c'est parce qu'ils n'ont jamais
mesuré la gravité de l'esclavage dont Christ nous a libérés ; c'est parce
qu'ils sous-estiment la tyrannie du péché qui nous tenait captifs. Alors il
leur est difficile de comprendre pourquoi le cantique proclame : "Les
jours des larmes sont passés : je ne suis plus esclave !"
Qu'ils sachent que le salut n'est pas
une simple amélioration morale, mais une libération radicale. Ce n'est pas une
réforme de l'ancienne vie, mais une création nouvelle. Ce n'est pas une
modification superficielle, mais une transformation profonde.
C'est dans cette perspective que
l'Écriture nous révèle la réalité glorieuse de notre émancipation spirituelle.
Oui,
Mais avant de célébrer pleinement
cette libération, il nous faut d'abord mesurer la profondeur de la servitude
dont Christ nous a arrachés, comprendre la nature des chaînes qui nous
retenaient prisonniers, et saisir l'ampleur de la captivité qui paralysait
notre existence.
UN ESCLAVAGE RÉEL ET
DESTRUCTEUR.
"Tous mes péchés sont effacés ; le sang de Christ
me lave."
Frères et sœurs bien-aimés,
L'esclavage du péché n'est pas une
métaphore poétique. C'est une RÉALITÉ TRAGIQUE. Le péché ne suggère pas, il
COMMANDE. Il ne propose pas, il IMPOSE. Il ne sollicite pas, il ASSERVIT.
Paul écrit dans Romains 6 :20 : "Car,
lorsque vous étiez esclaves du péché, vous étiez libres à l'égard de la
justice." Esclaves ! Voilà le mot qui décrit notre condition avant
Christ. Des esclaves sans liberté, sans pouvoir, sans espérance de s'affranchir
par leurs propres forces.
Cet esclavage se manifestait par :
·       
Une impuissance à faire le bien désiré.
·       
Une inclination naturelle vers le mal.
·       
Une servitude volontaire qui nous enchaînait davantage.
·       
Des chaînes invisibles mais réelles qui liaient notre volonté.
·       
Une dette impayable qui nous condamnait.
Les tentatives humaines pour briser
ces chaînes échouaient lamentablement. Les résolutions morales se brisaient.
Les efforts personnels s'épuisaient. Les philosophies humaines ne libéraient
pas. La religion extérieure ne transformait pas.
Mais un jour – jour glorieux et
mémorable – le LIBÉRATEUR est venu ! Et cette libération s'est accomplie par un
moyen unique et puissant. Oui,
Cette servitude reconnue, découvrons
maintenant le moyen glorieux par lequel Dieu a brisé nos chaînes, l'instrument
divin qui a payé le prix de notre rédemption, et la puissance qui nous a
arrachés à l'empire des ténèbres.
UNE LIBÉRATION PAR
LE SANG DE CHRIST.
"Le sang de Christ me lave."
Écoutez cette déclaration triomphante
! Le SANG DE CHRIST ! C'est le prix de notre rédemption. C'est le moyen de
notre purification. C'est la garantie de notre libération.
Ce sang n'est pas un symbole abstrait.
C'est le sang versé sur la croix du Calvaire. Le sang de l'Agneau de Dieu
immolé. Le sang du Fils de Dieu offert en sacrifice expiatoire.
Que fait ce sang précieux ? Il EFFACE,
tous nos péchés ! "Tous mes péchés sont effacés." Pas
quelques-uns. Pas les plus légers. Mais TOUS ! Les péchés d'action et
d'omission. Les péchés de pensée et de parole. Les péchés secrets et publics.
Les péchés anciens et récents.
Il LAVE, complètement ! Le sang de
Christ ne couvre pas simplement, il PURIFIE. Il ne cache pas, il NETTOIE. Il ne
masque pas, il TRANSFORME. Comme une eau purificatrice, il enlève toute
souillure, efface toute tache, restaure toute pureté.
L'apôtre Jean déclare dans 1 Jean 1 :7
: "Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché." De
TOUT péché ! Sans exception. Sans restriction. Sans limitation.
Cette purification produit un résultat
glorieux et permanent. 
Cette œuvre purificatrice accomplie,
contemplons maintenant le fruit magnifique de cette libération, la nouvelle
réalité qui définit désormais notre existence, et la condition permanente que
le sang de Christ a établie pour nous.
UNE NOUVELLE
CONDITION, PERMANENTE.
"Les jours des larmes sont passés : je ne suis
plus esclave !"
Quelle transformation radicale !
Quelle métamorphose complète ! Quelle révolution existentielle !
"Les jours des larmes sont
PASSÉS" – c'est fini ! Terminé ! Révolu ! Le temps de la servitude
appartient au passé. L'époque de la culpabilité est close. La période de la
condamnation est achevée.
"Je ne suis PLUS esclave" –
voilà la nouvelle identité ! L'ancienne condition est abolie. Le statut
précédent est annulé. La réalité présente est différente.
Maintenant, qu'est le croyant ? LIBRE
! Affranchi par Christ. Libéré par la vérité. Émancipé par la grâce. Paul
s'exclame dans Romains 8 :1-2 : "Il n'y a donc maintenant aucune
condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. Car la loi de l'Esprit de vie
en Jésus-Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort."
Cette liberté n'est pas une licence
pour pécher. C'est la PUISSANCE de vivre sainement. C'est la CAPACITÉ de
résister au mal. C'est la FORCE de marcher dans la justice.
Ayant expérimenté cette libération
glorieuse qui nous a arrachés à l'esclavage du péché, explorons maintenant la
dimension positive de notre découverte en Christ – ce trésor inestimable qui
remplit notre être d'une satisfaction profonde, cette joie divine qui déborde
de notre cœur transformé, et ce bonheur extraordinaire qui dépasse toute
compréhension humaine. Oui,
EN CHRIST,
NOUS AVONS TROUVÉ LE BONHEUR INEFFABLE.
ET LA JOIE INEXPRIMABLE.
Psaume 16 :11 ; Jean 15 :11 ; 1 Pierre 1 :8.
En effet, frères et sœurs bien-aimés,
si le premier cri du cantique proclame la libération, le second célèbre la
satisfaction. Si la première strophe annonce ce qui est enlevé (l'esclavage),
la seconde révèle ce qui est donné (le bonheur).
Car la découverte de Christ ne détruit
pas seulement la négation (la fin de quelque chose de mauvais), elle est
éminemment positive (le début de quelque chose de merveilleux). Elle ne fait
pas simplement une soustraction (l'enlèvement du péché), mais aussi, une
addition (l'ajout de la joie).
C'est pourquoi le cantique s'exclame
avec émerveillement : "Je l'ai trouvé, je l'ai trouvé, le bonheur
ineffable !" 
Commençons par sonder la nature
exceptionnelle de ce bonheur qui échappe aux catégories ordinaires de
l'expérience humaine, qui transcende les limites du langage terrestre, et qui
se distingue radicalement de toutes les satisfactions éphémères que le monde
peut offrir.
UN BONHEUR QUALIFIÉ
D'INEFFABLE.
"Le bonheur ineffable !"
Oui, INEFFABLE ! Voilà un mot puissant
qui exprime l'impossibilité de décrire adéquatement. Ce qui est ineffable ne
peut être pleinement exprimé par des mots. Il dépasse les capacités du langage
humain. Il transcende les limites de l'expression terrestre.
Pourquoi ce bonheur est-il ineffable ?
Parce qu'il est d'origine DIVINE – il ne vient pas de circonstances favorables,
mais de la présence de Dieu. Il ne dépend pas de conditions extérieures, mais
d'une relation intérieure avec Christ.
Parce qu'il est de nature SPIRITUELLE
– il ne satisfait pas seulement les sens, mais l'âme profonde. Il ne remplit
pas uniquement les besoins temporels, mais les aspirations éternelles. Il ne
comble pas simplement les désirs superficiels, mais la soif fondamentale de
l'être.
Parce qu'il est d'intensité
INCOMPARABLE – tous les plaisirs terrestres réunis ne peuvent égaler cette
joie. Toutes les satisfactions humaines cumulées ne peuvent approcher ce
bonheur. Toutes les félicités mondaines additionnées ne peuvent rivaliser avec
cette allégresse.
Jésus Lui-même avait promis dans Jean 15
:11 : "Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que
votre joie soit parfaite." MA JOIE – la joie de Christ Lui-même
communiquée au croyant ! Quelle promesse extraordinaire !
Ce bonheur ineffable qui remplit notre
être tout entier se manifeste ensuite par une dimension émotionnelle puissante,
par une allégresse débordante qui jaillit spontanément du cœur transformé, et
par une joie si intense qu'elle défie toute tentative d'expression complète.
Oui, 
UNE JOIE
INEXPRIMABLE.
"Oh ! joie inexprimable !"
Si le bonheur parle de l'état, la joie
exprime l'émotion. Si le bonheur décrit la condition, la joie manifeste le
sentiment. Si le bonheur concerne l'être, la joie révèle le vécu.
INEXPRIMABLE ! Encore une fois, un
terme qui souligne l'impossibilité de communiquer pleinement. On peut en
parler, mais pas l'épuiser. On peut la décrire, mais pas la contenir. On peut
la témoigner, mais pas la transmettre complètement.
Pierre, l'apôtre qui connaissait cette
joie, écrit dans 1 Pierre 1 :8 : "Lui que vous aimez sans l'avoir vu,
en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d'une joie INEFFABLE
ET GLORIEUSE."
Cette joie se caractérise par
plusieurs aspects remarquables : Elle est PROFONDE – elle jaillit du plus
profond de l'être. Elle ne reste pas à la surface. Elle ne se limite pas aux
émotions superficielles. Elle prend sa source dans l'union avec Christ.
Elle est DURABLE – contrairement aux
joies passagères du monde. Les circonstances peuvent changer, elle demeure. Les
épreuves peuvent survenir, elle subsiste. Les difficultés peuvent s'accumuler,
elle persiste.
Elle est CONTAGIEUSE – celui qui
l'expérimente ne peut la garder pour lui. Elle déborde naturellement. Elle se
communique spontanément. Elle rayonne irrésistiblement vers les autres.
Elle est FONDÉE – non sur des
illusions, mais sur des réalités éternelles. Non sur des espérances
incertaines, mais sur des promesses divines. Non sur des sentiments changeants,
mais sur des vérités immuables.
Cette joie inexprimable qui remplit
nos cœurs ne flotte pas dans le vide comme une émotion sans fondement ; elle
découle directement d'une rencontre personnelle, d'une relation vivante, d'une
communion intime avec une Personne divine qui est elle-même la source
intarissable de toute joie véritable. Oui,
UNE SOURCE
IDENTIFIABLE : CHRIST LUI-MÊME.
"Je l'ai trouvé !"
Remarquons le pronom personnel :
"JE L'AI TROUVÉ." Pas "je l'ai trouvée" (la joie). Pas
"je les ai trouvés" (les bénédictions). Mais "JE L'AI
TROUVÉ" – une PERSONNE ! CHRIST !
C'est là le secret du bonheur
ineffable et de la joie inexprimable. Ce n'est pas dans une doctrine, aussi
vraie soit-elle. Ce n'est pas dans une expérience, aussi puissante soit-elle.
Ce n'est pas dans une religion, aussi organisée soit-elle.
C'est dans une PERSONNE :
Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Sauveur du monde, le Seigneur glorifié.
André illustre cette découverte dans
Jean 1 :41 : "Il trouva d'abord son frère Simon, et lui dit : Nous
avons trouvé le Messie." NOUS AVONS TROUVÉ ! Pas une théologie. Pas un
système. Mais LE MESSIE – une personne divine.
Tous les trésors sont cachés en
Christ. Toute la plénitude habite en Lui. Toute la satisfaction se trouve en
Lui seul.
Le trouver, c'est trouver TOUT. Avoir
Christ, c'est posséder TOUTES choses. Connaître Christ, c'est expérimenter la
vie dans toute sa plénitude.
Ayant découvert la libération qui
brise nos chaînes et le bonheur qui remplit nos cœurs, contemplons maintenant
la dimension qui couronne et sécurise toute cette expérience glorieuse – cette
certitude inébranlable qui ancre notre foi, cette assurance divine qui dissipe
tous nos doutes, et cette garantie éternelle qui scelle pour toujours notre
destinée en Christ. Oui,
NOUS AVONS TROUVÉ
L'ASSURANCE CERTAINE
 ET ÉTERNELLE
 DU SALUT.
Jean 10 :27-29 ; Romains 8 :38-39 ; 1 Jean 5 :11-13
En effet, frères et sœurs bien-aimés,
la découverte de Christ ne serait pas complète si elle laissait subsister le
doute quant à notre destinée éternelle. Le bonheur ne serait pas ineffable s'il
pouvait être perdu. La joie ne serait pas inexprimable si elle devait être
temporaire.
Mais gloire à Dieu ! Le cantique
proclame avec assurance : "Je suis sauvé, je suis sauvé !" Pas
"j'espère être sauvé." Pas "je pense être sauvé." Mais
"JE SUIS SAUVÉ" – affirmation catégorique, certitude absolue,
assurance inébranlable.
Observons d'abord comment cette
assurance s'exprime avec force et conviction dans le cœur du croyant, comment
elle se proclame sans hésitation ni ambiguïté, et comment elle repose sur des
fondements solides qui transcendent nos sentiments changeants et nos
circonstances fluctuantes. Oui,
UNE AFFIRMATION
RÉPÉTÉE AVEC ASSURANCE.
"Je suis sauvé, je suis sauvé !"
Pourquoi cette répétition ? Parce que
la vérité est si glorieuse qu'elle mérite d'être proclamée deux fois ! Parce
que l'assurance est si précieuse qu'elle doit être affirmée et réaffirmée !
Parce que la certitude est si merveilleuse qu'elle appelle une double
déclaration !
"JE SUIS SAUVÉ" – au temps
PRÉSENT ! Non pas "j'ai été sauvé" seulement (bien que ce soit vrai).
Non pas "je serai sauvé" uniquement (bien que ce soit assuré). Mais
"JE SUIS SAUVÉ" – maintenant, présentement, actuellement !
Cette assurance ne provient pas de
l'arrogance humaine. Elle ne repose pas sur la présomption charnelle. Elle ne
s'appuie pas sur les mérites personnels.
Elle se fonde solidement sur trois
piliers indestructibles :
Premièrement, la PROMESSE de Dieu. Dieu a promis le
salut à quiconque croit. Sa Parole est infaillible. Ses promesses sont
certaines. Ce qu'Il a déclaré, Il l'accomplira.
Deuxièmement, l'ŒUVRE de Christ. Le salut est
accompli à la croix. Le prix est entièrement payé. Le sacrifice est totalement
suffisant. Rien n'est à ajouter. Tout est consommé.
Troisièmement, le TÉMOIGNAGE de
l'Esprit. Romains 8 :16 déclare : "L'Esprit lui-même rend témoignage à
notre esprit que nous sommes enfants de Dieu." Ce témoignage intérieur
confirme la réalité extérieure de notre adoption.
Cette assurance proclamée avec
conviction trouve sa pleine signification dans une sécurité absolue et
permanente, dans une protection divine qui ne faillira jamais, et dans une
garantie éternelle qui nous assure que ce que Dieu a commencé en nous, Il l'achèvera
jusqu'au jour de Jésus-Christ. Oui,
UNE SÉCURITÉ
ÉTERNELLE GARANTIE.
"Tous mes péchés sont effacés."
TOUS ! Pas quelques-uns. Pas la
plupart. Mais TOUS mes péchés – passés, présents et même futurs – sont effacés
par le sang de Christ.
Quand Dieu efface, Il efface
complètement. Quand Dieu pardonne, Il pardonne totalement. Quand Dieu purifie,
Il purifie parfaitement.
Le prophète Michée proclame : "Il
jettera au fond de la mer tous leurs péchés" (Michée 7 :19). Au FOND
de la mer ! Inaccessibles. Irrécupérables. Disparus à jamais.
Jésus Lui-même assure dans Jean 10 :28-29
: "Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et
personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus
grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père."
Quelle sécurité ! Quelle garantie !
Quelle certitude !
Nous Sommes gardés par:
·       
La MAIN de Christ qui nous tient.
·       
La MAIN du Père qui nous protège.
·       
La PUISSANCE de Dieu qui nous préserve.
Paul s'exclame triomphalement dans
Romains 8 :38-39 : "Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni
les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni
les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne
pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre
Seigneur."
RIEN ne peut nous séparer ! Aucune
force créée. Aucune circonstance imaginable. Aucun ennemi concevable.
Cette assurance n'encourage pas la
négligence, mais inspire la gratitude. Elle ne favorise pas la présomption,
mais produit la sainteté. Elle ne conduit pas au relâchement, mais motive le
service fidèle.
Nous voici au terme de cette
méditation sur la découverte glorieuse du salut en Christ. Trois vérités
essentielles nous ont été révélées :
Nous avons trouvé la LIBÉRATION – les chaînes du
péché sont brisées. L'esclavage est terminé. La liberté est acquise par le sang
de Christ.
Nous avons trouvé le BONHEUR – un bonheur
ineffable et une joie inexprimable qui jaillissent de la communion avec Christ
Lui-même.
Nous avons trouvé l'ASSURANCE – la certitude
éternelle du salut, garantie par les promesses de Dieu, l'œuvre de Christ, et
le témoignage de l'Esprit.
À vous qui écoutez ou lisez, si vous
n'avez pas encore fait cette découverte merveilleuse, sachez que Christ vous
attend. Il vous appelle. Il vous invite à Le trouver, ou plutôt à vous laisser
trouver par Lui.
Car c'est là, le merveilleux paradoxe
: nous Le cherchons parce qu'Il nous a déjà trouvés. Nous Le trouvons parce
qu'Il Se révèle à nous. La vraie question n'est pas "Où est Christ ?"
mais "Accepterez-vous de Le recevoir ?"
À vous qui avez déjà fait cette
découverte, que ce message ravive en vous la joie de votre salut ! Que
l'émerveillement de cette trouvaille ne s'émousse jamais ! Que votre témoignage
jaillisse continuellement : "Je l'ai trouvé ! Je suis sauvé !"
Et que votre vie entière soit un
cantique de louange à la gloire de Celui qui vous a trouvés, qui vous a sauvés,
qui vous a comblés de Son bonheur ineffable.
Car un jour – jour glorieux et éternel
– nous Le verrons face à face. Alors notre joie actuelle, aussi inexprimable
soit-elle, ne sera qu'un avant-goût de l'allégresse éternelle qui nous attend
en Sa présence.
En attendant ce jour, vivons dans la
gratitude, témoignons avec assurance, et chantons avec reconnaissance :
"Je l'ai trouvé, je l'ai trouvé, le bonheur ineffable !
Je suis sauvé, je suis sauvé, oh ! joie inexprimable !"
 
À VOUS TOUS JE DIS :
JOYEUSE CÉLÉBRATION DE CETTE DÉCOUVERTE GLORIEUSE.
 
À Dieu, Jésus-Christ, soient la louange qui s'élève et la gloire qui
resplendit.
À nous, rachetés par Son sang, soient la gratitude qui déborde et le
témoignage qui rayonne.
Qu'il en soit ainsi. Amen et Amen.
03 Novembre 2025
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