Jésus-Christ : le seul Sauveur

...ce témoignage, c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. 1 Jean 5:11-13



lundi 3 novembre 2025

La Découverte Glorieuse

 

« Lui que vous aimez sans L’avoir vu, en Qui vous croyez sans Le voir encore,
Vous réjouissant d’une joie ineffable et glorieuse, 
Parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes, pour prix de votre foi. »
1 Pierre 1 :8‑9.
 


La Découverte Glorieuse.
Le Trésor Ineffable.
Le Bonheur Inexprimable.
La Rencontre Transformatrice.
 
"Je l'ai trouvé, je l'ai trouvé, le bonheur ineffable !
Je suis sauvé, je suis sauvé, oh ! joie inexprimable !"

Ces paroles jaillissent du cœur comme un cri de victoire, comme une explosion de joie, comme un témoignage de délivrance. Elles expriment l'expérience bouleversante de celui qui a rencontré Christ, de celui qui a découvert le trésor caché, de celui qui est passé des ténèbres à la lumière.

Par-delà les recherches infructueuses qui épuisent l'âme, les quêtes illusoires qui déçoivent le cœur, les poursuites vaines qui consument l'existence ; loin des plaisirs éphémères qui promettent mais ne satisfont jamais, des richesses terrestres qui enrichissent mais n'apaisent point, des honneurs humains qui flattent mais ne comblent pas ; il existe bien une découverte décisive, une trouvaille glorieuse, une rencontre transformatrice qui change tout, pour toujours, pour l'éternité.

Par ailleurs, l'humanité cherche depuis des millénaires. Elle cherche le bonheur dans les possessions matérielles, la paix dans les philosophies humaines, la satisfaction dans les accomplissements personnels. Elle multiplie les tentatives, accumule les expériences, explore toutes les voies possibles.

Cependant, malgré cette quête incessante, cette recherche acharnée, cette soif insatiable ; le véritable bonheur demeure introuvable jusqu'à ce que l'âme découvre Christ, jusqu'à ce que le cœur rencontre le Sauveur, jusqu'à ce que l'esprit trouve son Créateur.

Alors on se demanderait : Qu'est-ce qui rend cette découverte si précieuse ? Pourquoi ce salut suscite-t-il une telle joie ? Comment cette rencontre transforme-t-elle radicalement l'existence ?

Y aurait-il des réponses claires ? Oui, répond l'Évangile. Alors se demanderaient certains : Mais quelle est la nature de cette découverte ? Quelles sont ses implications ? Qu'en est-il de ses conséquences éternelles ?

Laissez-nous répondre aujourd'hui, que cette expérience du salut, sa réalité transformatrice, sa joie ineffable, ses effets permanents, sont magnifiquement révélés à travers les pages inspirées des Saintes Écritures.

En ce jour, c'est cette vérité glorieuse que l'Église doit proclamer et célébrer. C'est à cette joie que tout croyant doit témoigner avec assurance, la partager avec enthousiasme, et la vivre avec gratitude.

Certains se demanderaient peut-être : "Mais qu'avons-nous réellement trouvé en Christ ? Quelle est la nature de cette découverte qui justifie tant d'allégresse ?"

Qu'ils sachent premièrement que dans le salut par Christ, nous avons trouvé la libération totale et définitive de l'esclavage du péché. Oui,

NOUS AVONS TROUVÉ LA LIBÉRATION TOTALE ET DÉFINITIVE

DE L'ESCLAVAGE DU PÉCHÉ.

Romains 6 :17-18, 22

En effet, frères et sœurs bien-aimés, si beaucoup peinent à comprendre l'intensité de cette joie ; s'ils ont du mal à saisir la profondeur de cette célébration, c'est parce qu'ils n'ont jamais mesuré la gravité de l'esclavage dont Christ nous a libérés ; c'est parce qu'ils sous-estiment la tyrannie du péché qui nous tenait captifs. Alors il leur est difficile de comprendre pourquoi le cantique proclame : "Les jours des larmes sont passés : je ne suis plus esclave !"

Qu'ils sachent que le salut n'est pas une simple amélioration morale, mais une libération radicale. Ce n'est pas une réforme de l'ancienne vie, mais une création nouvelle. Ce n'est pas une modification superficielle, mais une transformation profonde.

C'est dans cette perspective que l'Écriture nous révèle la réalité glorieuse de notre émancipation spirituelle. Oui,

Mais avant de célébrer pleinement cette libération, il nous faut d'abord mesurer la profondeur de la servitude dont Christ nous a arrachés, comprendre la nature des chaînes qui nous retenaient prisonniers, et saisir l'ampleur de la captivité qui paralysait notre existence.

UN ESCLAVAGE RÉEL ET DESTRUCTEUR.

"Tous mes péchés sont effacés ; le sang de Christ me lave."

Frères et sœurs bien-aimés,

L'esclavage du péché n'est pas une métaphore poétique. C'est une RÉALITÉ TRAGIQUE. Le péché ne suggère pas, il COMMANDE. Il ne propose pas, il IMPOSE. Il ne sollicite pas, il ASSERVIT.

Paul écrit dans Romains 6 :20 : "Car, lorsque vous étiez esclaves du péché, vous étiez libres à l'égard de la justice." Esclaves ! Voilà le mot qui décrit notre condition avant Christ. Des esclaves sans liberté, sans pouvoir, sans espérance de s'affranchir par leurs propres forces.

Cet esclavage se manifestait par :
·        Une impuissance à faire le bien désiré.
·        Une inclination naturelle vers le mal.
·        Une servitude volontaire qui nous enchaînait davantage.
·        Des chaînes invisibles mais réelles qui liaient notre volonté.
·        Une dette impayable qui nous condamnait.

Les tentatives humaines pour briser ces chaînes échouaient lamentablement. Les résolutions morales se brisaient. Les efforts personnels s'épuisaient. Les philosophies humaines ne libéraient pas. La religion extérieure ne transformait pas.

Mais un jour – jour glorieux et mémorable – le LIBÉRATEUR est venu ! Et cette libération s'est accomplie par un moyen unique et puissant. Oui,

Cette servitude reconnue, découvrons maintenant le moyen glorieux par lequel Dieu a brisé nos chaînes, l'instrument divin qui a payé le prix de notre rédemption, et la puissance qui nous a arrachés à l'empire des ténèbres.

UNE LIBÉRATION PAR LE SANG DE CHRIST.

"Le sang de Christ me lave."

Écoutez cette déclaration triomphante ! Le SANG DE CHRIST ! C'est le prix de notre rédemption. C'est le moyen de notre purification. C'est la garantie de notre libération.

Ce sang n'est pas un symbole abstrait. C'est le sang versé sur la croix du Calvaire. Le sang de l'Agneau de Dieu immolé. Le sang du Fils de Dieu offert en sacrifice expiatoire.

Que fait ce sang précieux ? Il EFFACE, tous nos péchés ! "Tous mes péchés sont effacés." Pas quelques-uns. Pas les plus légers. Mais TOUS ! Les péchés d'action et d'omission. Les péchés de pensée et de parole. Les péchés secrets et publics. Les péchés anciens et récents.

Il LAVE, complètement ! Le sang de Christ ne couvre pas simplement, il PURIFIE. Il ne cache pas, il NETTOIE. Il ne masque pas, il TRANSFORME. Comme une eau purificatrice, il enlève toute souillure, efface toute tache, restaure toute pureté.

L'apôtre Jean déclare dans 1 Jean 1 :7 : "Le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché." De TOUT péché ! Sans exception. Sans restriction. Sans limitation.

Cette purification produit un résultat glorieux et permanent.

Cette œuvre purificatrice accomplie, contemplons maintenant le fruit magnifique de cette libération, la nouvelle réalité qui définit désormais notre existence, et la condition permanente que le sang de Christ a établie pour nous.

UNE NOUVELLE CONDITION, PERMANENTE.

"Les jours des larmes sont passés : je ne suis plus esclave !"

Quelle transformation radicale ! Quelle métamorphose complète ! Quelle révolution existentielle !

"Les jours des larmes sont PASSÉS" – c'est fini ! Terminé ! Révolu ! Le temps de la servitude appartient au passé. L'époque de la culpabilité est close. La période de la condamnation est achevée.

"Je ne suis PLUS esclave" – voilà la nouvelle identité ! L'ancienne condition est abolie. Le statut précédent est annulé. La réalité présente est différente.

Maintenant, qu'est le croyant ? LIBRE ! Affranchi par Christ. Libéré par la vérité. Émancipé par la grâce. Paul s'exclame dans Romains 8 :1-2 : "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. Car la loi de l'Esprit de vie en Jésus-Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort."

Cette liberté n'est pas une licence pour pécher. C'est la PUISSANCE de vivre sainement. C'est la CAPACITÉ de résister au mal. C'est la FORCE de marcher dans la justice.

Ayant expérimenté cette libération glorieuse qui nous a arrachés à l'esclavage du péché, explorons maintenant la dimension positive de notre découverte en Christ – ce trésor inestimable qui remplit notre être d'une satisfaction profonde, cette joie divine qui déborde de notre cœur transformé, et ce bonheur extraordinaire qui dépasse toute compréhension humaine. Oui,

EN CHRIST,
NOUS AVONS TROUVÉ LE BONHEUR INEFFABLE.
ET LA JOIE INEXPRIMABLE.

Psaume 16 :11 ; Jean 15 :11 ; 1 Pierre 1 :8.

En effet, frères et sœurs bien-aimés, si le premier cri du cantique proclame la libération, le second célèbre la satisfaction. Si la première strophe annonce ce qui est enlevé (l'esclavage), la seconde révèle ce qui est donné (le bonheur).

Car la découverte de Christ ne détruit pas seulement la négation (la fin de quelque chose de mauvais), elle est éminemment positive (le début de quelque chose de merveilleux). Elle ne fait pas simplement une soustraction (l'enlèvement du péché), mais aussi, une addition (l'ajout de la joie).

C'est pourquoi le cantique s'exclame avec émerveillement : "Je l'ai trouvé, je l'ai trouvé, le bonheur ineffable !"

Commençons par sonder la nature exceptionnelle de ce bonheur qui échappe aux catégories ordinaires de l'expérience humaine, qui transcende les limites du langage terrestre, et qui se distingue radicalement de toutes les satisfactions éphémères que le monde peut offrir.

UN BONHEUR QUALIFIÉ D'INEFFABLE.

"Le bonheur ineffable !"

Oui, INEFFABLE ! Voilà un mot puissant qui exprime l'impossibilité de décrire adéquatement. Ce qui est ineffable ne peut être pleinement exprimé par des mots. Il dépasse les capacités du langage humain. Il transcende les limites de l'expression terrestre.

Pourquoi ce bonheur est-il ineffable ? Parce qu'il est d'origine DIVINE – il ne vient pas de circonstances favorables, mais de la présence de Dieu. Il ne dépend pas de conditions extérieures, mais d'une relation intérieure avec Christ.

Parce qu'il est de nature SPIRITUELLE – il ne satisfait pas seulement les sens, mais l'âme profonde. Il ne remplit pas uniquement les besoins temporels, mais les aspirations éternelles. Il ne comble pas simplement les désirs superficiels, mais la soif fondamentale de l'être.

Parce qu'il est d'intensité INCOMPARABLE – tous les plaisirs terrestres réunis ne peuvent égaler cette joie. Toutes les satisfactions humaines cumulées ne peuvent approcher ce bonheur. Toutes les félicités mondaines additionnées ne peuvent rivaliser avec cette allégresse.

Jésus Lui-même avait promis dans Jean 15 :11 : "Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite." MA JOIE – la joie de Christ Lui-même communiquée au croyant ! Quelle promesse extraordinaire !

Ce bonheur ineffable qui remplit notre être tout entier se manifeste ensuite par une dimension émotionnelle puissante, par une allégresse débordante qui jaillit spontanément du cœur transformé, et par une joie si intense qu'elle défie toute tentative d'expression complète. Oui,

UNE JOIE INEXPRIMABLE.

"Oh ! joie inexprimable !"

Si le bonheur parle de l'état, la joie exprime l'émotion. Si le bonheur décrit la condition, la joie manifeste le sentiment. Si le bonheur concerne l'être, la joie révèle le vécu.

INEXPRIMABLE ! Encore une fois, un terme qui souligne l'impossibilité de communiquer pleinement. On peut en parler, mais pas l'épuiser. On peut la décrire, mais pas la contenir. On peut la témoigner, mais pas la transmettre complètement.

Pierre, l'apôtre qui connaissait cette joie, écrit dans 1 Pierre 1 :8 : "Lui que vous aimez sans l'avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d'une joie INEFFABLE ET GLORIEUSE."

Cette joie se caractérise par plusieurs aspects remarquables : Elle est PROFONDE – elle jaillit du plus profond de l'être. Elle ne reste pas à la surface. Elle ne se limite pas aux émotions superficielles. Elle prend sa source dans l'union avec Christ.

Elle est DURABLE – contrairement aux joies passagères du monde. Les circonstances peuvent changer, elle demeure. Les épreuves peuvent survenir, elle subsiste. Les difficultés peuvent s'accumuler, elle persiste.

Elle est CONTAGIEUSE – celui qui l'expérimente ne peut la garder pour lui. Elle déborde naturellement. Elle se communique spontanément. Elle rayonne irrésistiblement vers les autres.

Elle est FONDÉE – non sur des illusions, mais sur des réalités éternelles. Non sur des espérances incertaines, mais sur des promesses divines. Non sur des sentiments changeants, mais sur des vérités immuables.

Cette joie inexprimable qui remplit nos cœurs ne flotte pas dans le vide comme une émotion sans fondement ; elle découle directement d'une rencontre personnelle, d'une relation vivante, d'une communion intime avec une Personne divine qui est elle-même la source intarissable de toute joie véritable. Oui,

UNE SOURCE IDENTIFIABLE : CHRIST LUI-MÊME.

"Je l'ai trouvé !"

Remarquons le pronom personnel : "JE L'AI TROUVÉ." Pas "je l'ai trouvée" (la joie). Pas "je les ai trouvés" (les bénédictions). Mais "JE L'AI TROUVÉ" – une PERSONNE ! CHRIST !

C'est là le secret du bonheur ineffable et de la joie inexprimable. Ce n'est pas dans une doctrine, aussi vraie soit-elle. Ce n'est pas dans une expérience, aussi puissante soit-elle. Ce n'est pas dans une religion, aussi organisée soit-elle.

C'est dans une PERSONNE : Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Sauveur du monde, le Seigneur glorifié.

André illustre cette découverte dans Jean 1 :41 : "Il trouva d'abord son frère Simon, et lui dit : Nous avons trouvé le Messie." NOUS AVONS TROUVÉ ! Pas une théologie. Pas un système. Mais LE MESSIE – une personne divine.

Tous les trésors sont cachés en Christ. Toute la plénitude habite en Lui. Toute la satisfaction se trouve en Lui seul.

Le trouver, c'est trouver TOUT. Avoir Christ, c'est posséder TOUTES choses. Connaître Christ, c'est expérimenter la vie dans toute sa plénitude.

Ayant découvert la libération qui brise nos chaînes et le bonheur qui remplit nos cœurs, contemplons maintenant la dimension qui couronne et sécurise toute cette expérience glorieuse – cette certitude inébranlable qui ancre notre foi, cette assurance divine qui dissipe tous nos doutes, et cette garantie éternelle qui scelle pour toujours notre destinée en Christ. Oui,

NOUS AVONS TROUVÉ
L'ASSURANCE CERTAINE
 ET ÉTERNELLE
 DU SALUT.

Jean 10 :27-29 ; Romains 8 :38-39 ; 1 Jean 5 :11-13

En effet, frères et sœurs bien-aimés, la découverte de Christ ne serait pas complète si elle laissait subsister le doute quant à notre destinée éternelle. Le bonheur ne serait pas ineffable s'il pouvait être perdu. La joie ne serait pas inexprimable si elle devait être temporaire.

Mais gloire à Dieu ! Le cantique proclame avec assurance : "Je suis sauvé, je suis sauvé !" Pas "j'espère être sauvé." Pas "je pense être sauvé." Mais "JE SUIS SAUVÉ" – affirmation catégorique, certitude absolue, assurance inébranlable.

Observons d'abord comment cette assurance s'exprime avec force et conviction dans le cœur du croyant, comment elle se proclame sans hésitation ni ambiguïté, et comment elle repose sur des fondements solides qui transcendent nos sentiments changeants et nos circonstances fluctuantes. Oui,

UNE AFFIRMATION RÉPÉTÉE AVEC ASSURANCE.

"Je suis sauvé, je suis sauvé !"

Pourquoi cette répétition ? Parce que la vérité est si glorieuse qu'elle mérite d'être proclamée deux fois ! Parce que l'assurance est si précieuse qu'elle doit être affirmée et réaffirmée ! Parce que la certitude est si merveilleuse qu'elle appelle une double déclaration !

"JE SUIS SAUVÉ" – au temps PRÉSENT ! Non pas "j'ai été sauvé" seulement (bien que ce soit vrai). Non pas "je serai sauvé" uniquement (bien que ce soit assuré). Mais "JE SUIS SAUVÉ" – maintenant, présentement, actuellement !

Cette assurance ne provient pas de l'arrogance humaine. Elle ne repose pas sur la présomption charnelle. Elle ne s'appuie pas sur les mérites personnels.

Elle se fonde solidement sur trois piliers indestructibles :

Premièrement, la PROMESSE de Dieu. Dieu a promis le salut à quiconque croit. Sa Parole est infaillible. Ses promesses sont certaines. Ce qu'Il a déclaré, Il l'accomplira.

Deuxièmement, l'ŒUVRE de Christ. Le salut est accompli à la croix. Le prix est entièrement payé. Le sacrifice est totalement suffisant. Rien n'est à ajouter. Tout est consommé.

Troisièmement, le TÉMOIGNAGE de l'Esprit. Romains 8 :16 déclare : "L'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu." Ce témoignage intérieur confirme la réalité extérieure de notre adoption.

Cette assurance proclamée avec conviction trouve sa pleine signification dans une sécurité absolue et permanente, dans une protection divine qui ne faillira jamais, et dans une garantie éternelle qui nous assure que ce que Dieu a commencé en nous, Il l'achèvera jusqu'au jour de Jésus-Christ. Oui,

UNE SÉCURITÉ ÉTERNELLE GARANTIE.

"Tous mes péchés sont effacés."

TOUS ! Pas quelques-uns. Pas la plupart. Mais TOUS mes péchés – passés, présents et même futurs – sont effacés par le sang de Christ.

Quand Dieu efface, Il efface complètement. Quand Dieu pardonne, Il pardonne totalement. Quand Dieu purifie, Il purifie parfaitement.

Le prophète Michée proclame : "Il jettera au fond de la mer tous leurs péchés" (Michée 7 :19). Au FOND de la mer ! Inaccessibles. Irrécupérables. Disparus à jamais.

Jésus Lui-même assure dans Jean 10 :28-29 : "Je leur donne la vie éternelle ; et elles ne périront jamais, et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous ; et personne ne peut les ravir de la main de mon Père."

Quelle sécurité ! Quelle garantie ! Quelle certitude !

Nous Sommes gardés par:
·        La MAIN de Christ qui nous tient.
·        La MAIN du Père qui nous protège.
·        La PUISSANCE de Dieu qui nous préserve.

Paul s'exclame triomphalement dans Romains 8 :38-39 : "Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur."

RIEN ne peut nous séparer ! Aucune force créée. Aucune circonstance imaginable. Aucun ennemi concevable.

Cette assurance n'encourage pas la négligence, mais inspire la gratitude. Elle ne favorise pas la présomption, mais produit la sainteté. Elle ne conduit pas au relâchement, mais motive le service fidèle.

 Frères et sœurs bien-aimés,

Nous voici au terme de cette méditation sur la découverte glorieuse du salut en Christ. Trois vérités essentielles nous ont été révélées :

Nous avons trouvé la LIBÉRATION – les chaînes du péché sont brisées. L'esclavage est terminé. La liberté est acquise par le sang de Christ.

Nous avons trouvé le BONHEUR – un bonheur ineffable et une joie inexprimable qui jaillissent de la communion avec Christ Lui-même.

Nous avons trouvé l'ASSURANCE – la certitude éternelle du salut, garantie par les promesses de Dieu, l'œuvre de Christ, et le témoignage de l'Esprit.

À vous qui écoutez ou lisez, si vous n'avez pas encore fait cette découverte merveilleuse, sachez que Christ vous attend. Il vous appelle. Il vous invite à Le trouver, ou plutôt à vous laisser trouver par Lui.

Car c'est là, le merveilleux paradoxe : nous Le cherchons parce qu'Il nous a déjà trouvés. Nous Le trouvons parce qu'Il Se révèle à nous. La vraie question n'est pas "Où est Christ ?" mais "Accepterez-vous de Le recevoir ?"

À vous qui avez déjà fait cette découverte, que ce message ravive en vous la joie de votre salut ! Que l'émerveillement de cette trouvaille ne s'émousse jamais ! Que votre témoignage jaillisse continuellement : "Je l'ai trouvé ! Je suis sauvé !"

Et que votre vie entière soit un cantique de louange à la gloire de Celui qui vous a trouvés, qui vous a sauvés, qui vous a comblés de Son bonheur ineffable.

Car un jour – jour glorieux et éternel – nous Le verrons face à face. Alors notre joie actuelle, aussi inexprimable soit-elle, ne sera qu'un avant-goût de l'allégresse éternelle qui nous attend en Sa présence.

En attendant ce jour, vivons dans la gratitude, témoignons avec assurance, et chantons avec reconnaissance :

"Je l'ai trouvé, je l'ai trouvé, le bonheur ineffable !
Je suis sauvé, je suis sauvé, oh ! joie inexprimable !"
 
À VOUS TOUS JE DIS :
JOYEUSE CÉLÉBRATION DE CETTE DÉCOUVERTE GLORIEUSE.
 

À Dieu, Jésus-Christ, soient la louange qui s'élève et la gloire qui resplendit.
À nous, rachetés par Son sang, soient la gratitude qui déborde et le témoignage qui rayonne.

Qu'il en soit ainsi. Amen et Amen.

Paroles inspirées du cantique No # 18
Des chants d’Espérance & des Saintes Écritures,
En hommage à l’œuvre de Jésus-Christ,
Notre Sauveur, notre Rédempteur,
Le seul vrai Dieu
TDLI : Tabernacle de Dieu de Long Island.

03 Novembre 2025

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